Le grimpeur de salle ( que nous devenons tous) préférera aller fréquenter des falaises ou des blocs avec des grosses traces de magnésie, à l'équipement proche, en dévers...le spectateur finit souvent après quelques instant de zapping par se caler sur une série sur la 6 ou pire TF1, direct 8, TMC ( pour la radio il y a la migration de Inter vers RMC Nympho...Le lecteur quand à lui fini avec les grandes sagas thriller ( genre dan Brown) au détriment de Sartres, Malraux, Bobin, Camus ou Vian et le spectateur de rugby va même finir par regarder le foot ( décadence suprême!). Sans parler de la bouffe.
Quelques voies que je conseille pour sortir de sa "zone de confort" afin de continuer à progresser d'une façon ou d'une autre...
L'horreur du bide à la Meije ( y aller justement avec du bide).
Le Dos de l'Elephant ou Jeff à Bavella, avec des chaussons décathlon trop grand ( pour les dernière longueurs seulement 6a).
Opus nigrum à Riglos ( sans eau et à 14h en plein mois d'aout) etc...
Et pour ceux qui veulent continuer la lente ( ou rapide) dégénérécence des tissus et de l'esprit: il y a la voie Iseki au Roc Aiguille dans les gorges du Tarn ( beau, facile, sécurit, pas d'approche et la baigande au retour!)
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